
Salvador est une ville noire, je veux bien, mais pourquoi cette mode des dreadlocks et des casquettes rastas ?
Ca m'agace, j'ai envie de leur dire : si tu veux faire un plan back-to-the-roots man, habille-toi en babalorisha ! C'est pas les traditions noires qui manquent dans le coin.

En haut, l'imposante fondation Jorge Amado, un mausolée à la gloire de l'écrivain plus qu'un musée, un petit peu à l'abandon. Il y a une collection de photos jaunies du maître, et des souvenirs. On y vend quand même ses livres dans toutes les langues, et la vendeuse s'y connaît dans les différentes éditions en cours et à venir.

Le quartier est composé d'environ un tiers de maisons rénovées pour en faire des hotels, pratiquement uniquement par des étrangers. Tout le reste est à vendre et tombe en ruines.






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